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Le Chemin comme fil conducteur, ondulant, se confronte à l'envergure du paysage de calcaire. Heureusement, la pinède indique un hogar frais et ensoleillé. Ainsi les Calans nous accueillent.

Quand les derniers randonneurs, les derniers artistes, scientifiques, réfugiés s'en seraient allés ; que les menuiseries et les poutres en bois seraient littéralement tombées en poussière… Alors ne resterait que la pierre, sur de la pierre.

Le projet du refuge est une pré-ruine, un fantôme, un évènement qui ne durera pas.

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